Sélection documentaire -Cours d'eau

Sept stations, entre Brandon et Marnay, ont fait l’objet d’un inventaire piscicole en 2014. 25 espèces ont été capturées : loche franche, perche soleil, chabot commun, ablette, barbeau fluviatile, blageon, bouvière, brème bordelière, carpe commune, chevesne, gardon, goujon, hotu, pseudorasbora, rotengle, spirlin, tanche, vairon, vandoise, brochet, grémille, perche, lamproie de planer, truite fario et silure. Quatre autres espèces n’ont pas été capturées, mais leur présence dans la Grosne est certaine : brème commune, carassin, poisson-chat et sandre.

Présentes depuis les têtes de bassin jusqu'à l'estuaire, les prairies alluviales jouent un rôle essentiel dans le bon fonctionnement du réseau hydrographique. Elles constituent des écosystèmes d'une grande diversité et d'une grande richesse floristique et faunistique. Malgré leur rôle stratégique dans la gestion du risque inondation et l'alimentation en eau potable par exemple, les milieux alluviaux subissent à l'heure actuelle de nombreuses dégradations.

Ce cahier des charges s’inscrit dans le cadre de l’orientation 11 du projet de SAGE Boutonne « Assurer la compatibilité entre l’activité de populiculture et les objectifs de bon état des cours d’eau », et plus particulièrement de la disposition n°32 : Intégrer un volet « eau et milieux aquatiques » à la charte environnement de la populiculture. Il est approuvé par la Commission locale de l'eau (CLE) du Schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) de la Boutonne.

La qualité de la morphologie des rivières du bassin de la Vouge est fortement dégradée. Les deux premières phases sont téléchargeables sur le site du bassin de la Vouge. Une plaquette de communication a été produite à la fin de la phase 2.

Dossier de Déclaration d'Intérêt Général et Dossier de Déclaration « Loi sur l''Eau » pour l'entretien et la restauration des cours d'eau du bassin de la Vouge.

Menée par l’Institut de recherche en sciences et technologies pour l'environnement et l'agriculture (Irstea), en partenariat avec Institut national de la recherche agronomique (Inra) et l’Office national de l’eau et des milieux aquatiques (Onema), l’étude a pour objectif d’évaluer l’impact cumulé des retenues d’eau sur le milieu aquatique et de proposer un cadre méthodologique pour homogénéiser les démarches et améliorer la qualité des procédures d’instruction.

À l’image de plusieurs pays européens, la France se dotera d’ici quelques mois d’un Centre national pour la restauration des rivières. Afin de réfléchir collectivement aux activités prioritaires de ce centre, l’Onema a organisé une journée d’échanges avec les acteurs concernés du secteur public, le 1er décembre 2015 à Paris, en collaboration avec le ministère en charge de l’écologie, les agences de l’eau et l’Association française des établissements publics territoriaux de bassin.

Suite au classement du territoire de Bièvre-Liers-Valloire en déséquilibre quantitatif en eau par le SDAGE, une étude de détermination des volumes maximums prélevables a été réalisée par la CLE. Cette étude a permis de caractériser l'utilisation de la ressource sur le bassin versant, de quantifier les ressources superficielles et souterraines, d'estimer l'impact des prélèvements et rejets sur ces ressources et d'identifier les besoins hydrauliques du milieu en termes d'habitat à travers l'évaluation du débit biologique.

Ordre du jour : La compétence Gestion des Milieux Aquatiques et Prévention des Inondations, GEMAPI La présentation de la 1ère phase de la Révision du Programme pluriannuel de Gestion des Cours d’eau